Découvrez le dernière chronique "Art en droit" de Maître Pierre Noual pour Le Journal des Arts. Cette semaine, Léonard de Vinci : la Cour de cassation valide la publicité de La Cène
Le détournement de La Cène de Léonard de Vinci par une affiche publicitaire n’est pas injurieux à l’égard de la communauté catholique. Une décision de 2006 qui résonne avec la cérémonie des JO.
Paris. Véritable génie universel et archétype de l’homme de la Renaissance, Léonard de Vinci est célébré comme ingénieur ayant développé des idées en avance sur son temps. Toutefois, c’est par sa peinture qui tire l’art du Moyen Âge que l’artiste remporte aujourd’hui toutes les faveurs. En cette année 1498, Léonard achève son immense peinture murale de 4,60 m de hauteur et 8,80 m de largeur représentant La Cène – du latin cena, repas du soir – dans le réfectoire du couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie, le mausolée des Sforza. Alors que le thème du dernier repas du Christ est traditionnellement représenté avec les onze apôtres d’un côté et Judas de l’autre, rappelant ainsi sa trahison, Léonard est le premier peintre à montrer Judas mélangé aux autres. Grâce à l’utilisation de la perspective – apparue au milieu du Quattrocento, la fresque devient mouvement et les apôtres vivants [...].
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